lørdag den 19. september 2009
ATTENTE: 1er souffle
onsdag den 12. august 2009
La substance du soi
Approche toi encore, fais le vide en toi, respire profondément, oublie les bruits, oublie le sens de la réalité, concentre toi sur le souffle, derrière tu comprendras le rythme. L'enchaînement de situations, d'évènements, une musique orchestré par l'âme. C'est la substance du soi, ce qui fait que l'on est nous, non par notre corps, non seulement, mais plus par notre rythme, notre souffle, notre présence sur la Terre.
Le souffle qui s'anime sur les hautes montagnes, ou sur les vastes plateaux, sur les larges océans nous rappelle cette substance, nous fait vibrer car nous sommes souffle aussi, notre substance est un chant qui se déroule dans l'espace-temps, et anime le corps.
Nous dansons entre nous, nos substances se mêlent, mais attaché à nos corps, et à cette substantialité incomplète, nous oublions notre "être" notre "soi".
Nous dansons, mais nous le savons pas, juste des éclairs de conscience, des sentiments inexplorés, des sens inconnus qui nous appellent, nous guident, nous enivrent..
En retrouvant les voies qui permettent de se situer d'une autre façon dans les limbes de l'espace-temps Gaian, cela permet de découvrir ses capacités réelles.
Bien sûr c'est un changement radical de la pensée qui induit l'"être" à ne plus voir simplement la substance dans ce qui est visible, étendu ; apprendre à visualiser les champs composant la réalité, qui n'est d'ailleurs sans doute pas un empilement de champs, car ici encore on rentre dans le défini, de composé.
[à suivre...]
tirsdag den 11. august 2009
DéCLARATION
ne trouvez-vous pas que l'en se sent à l'étroit, compressé et pourtant le monde est vaste et autour de nous il y a plein de choses à faire. Mais à force de suivre les lignes fixées par les autres, c'est normal que l'on se retrouve tous au même endroit (c'est plus facile pour nous marquer au fer rouge, nous tondre, nous vendre, nous manger..).
Mais Citoyen ne, je sais que tu n'as pas envie de bouger aucun mouvement ne t'entraîne, on assiste à la calcification de la société. Alors après c'est facile pour ceux qui ont les leviers en mains de conduire les masses où ils veulent. Il leur suffit de prendre un grand monte-charge et de soulever des plaques de populations pour les emmener où ils le veulent.
Libérons nous de la condition de bétail, décidons par nous même.
Pour vivre dignement et décider par nous même de nos destins.
Citoyen ne s Révolution pour l'évolution
Le déliré et controverse
En bas cela est compréhensible, car vivant dans la "merde" et n'ayant pas de moyens de s'en sortir on considère le déliré comme une perte d'énergie; mais pourtant le déliré permettrais d'envisager d'autres voies pour s'en sortir.
Mais c'est sûr que quand toute les voies sont barrées par les élites de l'administration ou le racisme, c'est pas facile. De l'autre côté, les élites n'acceptent pas le déliré, car elles ont peur de vaciller de leur piédestal.
Vivre intensément, dans le déliré est une bonne chose. Cela désinhibe et permet de voir la vie autrement.
mandag den 10. august 2009
La tristesse
Souvent elle passe et on ne la voit pas.
La tristesse est morne quand on l'a dans la peau
Et elle mord dans notre peau,
De ses crocs,
Des crocs empoisonnés,
Du poison déchirant
Déchirant notre âme, la laissant en lambeaux,
Flottant dans l'océan
De nos pensées
Comme les débris
D'un naufrage
Morceaux de bois épars dérivant
Se frottant dans notre cortex,
ô rage
C'en est fini,
je me laisse dériver.....
Hoody KrackMg'
09 Mai 2008
Le voyageur de l'espace temps
je m'enfonçais dans les aléas du temps
traversé de part en part
par des sentiments
je m'enfonçais au loin
loin depuis que j'avais regardé
depuis la dernière fois
l'horizon
qui auparavant au fond
est maintenant la scène de mes pas
et je m'enfonce...
je m'enfonce dans le décor.
Je traverse la scène,
qui traverse avec moi l'espace-temps.
Je suis le voyageur de l'infini,
le nomade à jamais mouvant
promeneur intemporel
je me déplace sur la toile
et la toile se mouve sous mes pas,
ou sur, je ne sais plus
a vrai dire je ne sais pas
dimensions entrecroisés
ainsi est fait mon univers.
Et au fur et à mesure de mes pas
selon la mesure du temps
selon l'espace m'entourant
mon corps changeait
je me dissolvais
me transformait
me durcissait
m'envolais.
L'espace-temps me changeait
de toute sa gamme,
et le musicien invisible
de son répertoire enchanté
modifiait mon apparence
DO RE MI FA SOL LA SI
et même bien plus,
la musique emportait mes particules
dans des transes fabuleuses,
dansant sur l'air du temps,
je me transformais dans l'espace.
Hoody KrackMg'
20 Novembre 2008
lørdag den 23. maj 2009
>Unknow<
søndag den 12. april 2009
Aarrrghhh
Réalité «réelle» / Réalité «virtuelle»
L'évolution de rapports sociaux est tel qu'au lieu de se rencontrer dans la rue, à un concert, dans un bar, au théâtre, à l'opéra, dans la forêt, les gens ont de plus en plus tendance à se rencontrer sur Internet.
Non pas non plus, qu'il ne sorte plus, mais lorsqu'il y a activité culturelle, comme cinéma, ou théâtre, ou concert, il n'y a moins de rencontre spontané, celle qu'on fait on abordant l'inconnu à coté de soi, et de lui dire:
«Alors, t'as vu selon X, le fait que Y se transforme en Z, n'est ce pas tout à fait révélateur de la tendance R?»
Non, c'est plutôt qu'on va pas parler, l'inconnu restera l'inconnu.Certes sur Internet on peut rencontrer des gens à l'autre bout du monde, mais je vais engager maintenant ma dialectique sur ce rail.
Les voyages sont vendus à prix élevé ; même si il y a des charters ; et le voyage est conçu sur une durée courte, maximum 1 mois, cela étant dû au fait qu'il n'y ait que 5 semaines de congés, certes payés, mais 5 semaines. Or un voyage en 5 semaines; et encore, parce que les gens préfèrent, et je les comprend, faire des pauses régulièrement dans l'année ; donc de répartir leurs congés ; c'est du tourisme, le «isme» du tour, on fait un petit tour, et puis s'en vont, mais la rencontre est valdingué. Bien sûr on rencontre Henri, de la société générale, venu dans le même hôtel au Caire, ou bien John, cadre pharmaceutique de Boston, assis à coté de soi dans le car pour le safari au Zaïre, ou encore Michel, patron d'une PME de peinture, venu dans le même camping en Bretagne.
Mais la rencontre, celle qui est le fruit du hasard, le résultat de nos pas et de nos folies qui nous font prendre, soudain le petit chemin, là juste à gauche, celui qui se perd dans les orangers, qui sentent si bon, ces douces odeurs tellement attirantes...et bien tu peux pas t'y perdre, y aller t'enfoncer dans ce sentier, et ne pas te demander où il finit et te retrouver 3 mois plus tard 1000 kms plus loin, parce ce que en 5 semaines, on n'a pas le temps de se perdre, car le temps c'est de l'argent, et si on rate son vol, on sera pas au boulot, le boulet de l'humain, et puis il faudra payer un autre billet, cette tyrannie des congés limités, qui fait qu'on achète le billet retour au moment où on prévoit de partir, car c'est moins cher avant, c'est une aliénation je trouve, surtout que si t'as pas de raison d'être en retard, on te rembourse pas.
Alors on s'évade sur son ordinateur, les MPORG de plus en plus performant t'entrainent dans la réalité virtuelle, qui devient la tienne, vu que dehors, tout est froid, et les gens font la gueule. On se crée des communautés virtuelles de gens que t'as jamais vu, et qui deviennent tes amis, ta réalité devient la virtualité.
Mais la solution est simple, faut bouger, si tu peux pas partir, parce que les choses te retiennent, et qu'autour de toi ça bouge pas, alors faut faire, organisé des concerts, créer une expo, lire des contes aux enfants (et adultes) du quartier, bref DIY, or «die in virtual», parce que pour certain c'est tant mieux si tu reste enfermé, si tu traine dans un monde virtuel où ils vont pouvoir mieux te contrôler, influencer tes goûts, tes humeurs, tes sentiments; pouvoir te vendre leurs produits.
PISTES DE LECTURE
<>Le Successeur de pierre, Denoël, 1999. Grand Prix de l’imaginaire 2000, de Jean-Michel TRUONG.
(http://www.jean-michel-truong.net/successeur_de_pierre/page/successeur.html )
<>Le Samouraï virtuel, Livre de poche, 1992, de Neal Stephenson.
(http://www.nealstephenson.com/ )
tirsdag den 17. marts 2009
Michel Husson
søndag den 11. januar 2009
Monde merveilleux
Deuxièmement, l'humain, répare ses erreurs, mais continue de gérer l'ensemble de la planète.
Une réflexion philosophique d'un ami apporte ceci:
"en se prétendant les êtres vivants les plus intelligents (importants) de la planète, ne sommes nous pas les plus faibles?"
Certes l'humain est intelligent, il a dévellopé des techniques merveilleuses, ayant choisi de dévelloper le concept du pouce (pareil chez les primates), mais de réflechir à des outils exo-corporel au lieu de modifier plus avant son apparence physique.
Ce qui lui a ouvert la voie à quantité de possibilitées, par le fait de la conjugaison de son imagination, et de ses pouces.
Avec l'évolution des techniques mécaniques, il en ait arrivé à dévelloper des techniques micro-mécaniques, et méta-mécaniques (informatique).
Donc l'humain est quand même très intéressant.
Autre points par rapport à l'évolution; actuellement nous sommes répandu sur la surface habitable de la planète (70% des terres - 20% du total)[données non scientifiques]
Nous avons évolué en quelques millions d'années.
Mais peut être que dans 1000 ans d'autres êtres vivants pourraient suivre les pistes que nous avons suivis, et atteindre en ce laps d'espace-temps notre niveau.
Autre points sur l'évolution: l'humain à tendance [donnée scientifique] à penser que son mode d'intelligence est celui qui le rend le plus apte à gérer la Planète.
Mais on n'est pas apte à se gérer nous même.
C'est un point de vue ultra subjectif de croire que parce que d'autres intelligence la ramène pas pour nous dicter notre conduite , qu'elles n'ont pas de notion de gestion.
Comme on le voit dans les cours, certains espaces s'autogère.
Ou alors des animaux ou des végétaux gèrent leurs espaces.
La aussi une autre notion/
l'espace fait il qu'il s'autogère en une certaine forme d'intelligence, en utilisant des outils animaux ou végétaux;
ou bien les animaux et végétaux décident en conscience de gérer leurs espaces.